Coucher du Soleil équinoxialderrière la pyramide deKhéphren à GizehAidés des développements numériques les plus récents combinant certains paramètres astrométriques et photométriques, examinons tout d'abord la validité des hypothèses orientationnelles formulées à ce jour. Puis, nous formulerons une toute nouvelle théorie, basée sur l'observation répétée d'un couple d'étoiles très brillantes, rendant parfaitement compte des écarts à l'alignement cardinal relevés sur les pyramides de Djoser, Houni, Snéfrou, Khéops, Djedefrê, Khéphren, Mykérinos, Sahourê, Néferirkarê et Ounas - en accord avec les chronologies existantes et le déroulement de la cérémonie de l'extension du cordeau, qui plus est.
Ce résultat pour le moins inattendu a été déduit de l'utilisation d'un logiciel d'astronomie conçu sur la base des travaux de recherche les plus récents en mécanique céleste, en astrophysique et en optique et permettant d'établir la liste des étoiles visibles à l'oeil nu dont l'observation des positions d'apparition, de culmination ou de disparition de la voûte céleste locale, sur fond de ciel nocturne ou crépusculaire, a possiblement conduit à l'orientation astronomique des édifices considérés.
La survenue de tels instants dépend bien évidemment de divers paramètres locaux, d'ordre géographique (latitude, longitude et altitude du site d'observation) et météorologique (température et taux d'humidité de l'air ambiant), mais aussi de paramètres astronomiques (hauteur du Soleil sous l'horizon, distance angulaire entre le Soleil et l'étoile considérée, magnitude apparente de l'étoile, etc.) ; enfin, et surtout, de l'acuité visuelle de l'observateur. En d'autres termes, de sa capacité à distinguer le point source que constitue une étoile sur fond de ciel nocturne ou crépusculaire.
La valeur moyenne de ce paramètre a été déduite de l'étude de divers écrits (Papyrus el-Lahoun, Calendrier Ebers, Texte d'Eléphantine, textes de fondation du temple d'Hathor à Dendérah, etc.) mentionnant la survenue du lever héliaque de l'étoile Sirius dans le passé de l'Egypte.
Ce résultat pour le moins inattendu a été déduit de l'utilisation d'un logiciel d'astronomie conçu sur la base des travaux de recherche les plus récents en mécanique céleste, en astrophysique et en optique et permettant d'établir la liste des étoiles visibles à l'oeil nu dont l'observation des positions d'apparition, de culmination ou de disparition de la voûte céleste locale, sur fond de ciel nocturne ou crépusculaire, a possiblement conduit à l'orientation astronomique des édifices considérés.
La survenue de tels instants dépend bien évidemment de divers paramètres locaux, d'ordre géographique (latitude, longitude et altitude du site d'observation) et météorologique (température et taux d'humidité de l'air ambiant), mais aussi de paramètres astronomiques (hauteur du Soleil sous l'horizon, distance angulaire entre le Soleil et l'étoile considérée, magnitude apparente de l'étoile, etc.) ; enfin, et surtout, de l'acuité visuelle de l'observateur. En d'autres termes, de sa capacité à distinguer le point source que constitue une étoile sur fond de ciel nocturne ou crépusculaire.
La valeur moyenne de ce paramètre a été déduite de l'étude de divers écrits (Papyrus el-Lahoun, Calendrier Ebers, Texte d'Eléphantine, textes de fondation du temple d'Hathor à Dendérah, etc.) mentionnant la survenue du lever héliaque de l'étoile Sirius dans le passé de l'Egypte.
Chacune des données orientationnelles obtenues dans le cadre de la présente étude est aisément vérifiable : la mise à votre disposition gratuite du logiciel de détermination des étoiles de magnitude visuelle inférieure ou égale à 4 dont l'observation de la position d'apparition, de culmination ou de disparition de la voûte céleste locale a possiblement conduit à l'orientation spatiale de l'édifice considéré, vous permettra en effet de tester par vous-même la validité de chacune des hypothèses stellaires envisagées. Pour ce faire, il vous suffira de cliquer sur le triangle de couleur verte () figurant au bas de chaque table de résultats.
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