Le zodiaque classique de l'astrologie grecque, tel que défini par Ptolémée, est tropical, c’est-à-dire qu'il est divisé en 12 portions égales de 30°, en commençant par le point vernal. Ce système est encore utilisé aujourd'hui par l'immense majorité des astonomes occidentaux.
L'astrologie sidérale, quant à elle, définit les signes du zodiaque à partir des vraies constellations.
En effet, le phénomène de précession des équinoxes, découvert en 130 av. J.-C. par l'astronome grec Hipparque, révèle un décalage entre les deux systèmes, d'environ 1° tous les 70 ans. De ce fait, une personne n'aura pas le même signe astrologique selon qu'elle utilise l'astrologie tropicale ou l'astrologie sidérale. Une personne est dite native d'un signe lorsque le Soleil se trouvait dans ce signe au moment de sa naissance. Par exemple, si une personne est dite "Bélier", en astrologie tropicale, cela signifie que le Soleil se trouvait dans le secteur zodiacal du Bélier au moment de sa naissance (et non dans la constellation, celle-ci s'étant peu à peu décalée avec la précession des équinoxes). En astrologie sidérale, pour être dit "Bélier", il faut que le Soleil se soit trouvé effectivement dans la constellation du Bélier lors de sa naissance. Plus simplement, l'astrologie tropicale utilise le zodiaque tel qu'il était aux alentours de l'an 150 après JC , tandis que l'astrologie sidérale utilise le zodiaque actuel.
L'astrologie sidérale, quant à elle, définit les signes du zodiaque à partir des vraies constellations.
En effet, le phénomène de précession des équinoxes, découvert en 130 av. J.-C. par l'astronome grec Hipparque, révèle un décalage entre les deux systèmes, d'environ 1° tous les 70 ans. De ce fait, une personne n'aura pas le même signe astrologique selon qu'elle utilise l'astrologie tropicale ou l'astrologie sidérale. Une personne est dite native d'un signe lorsque le Soleil se trouvait dans ce signe au moment de sa naissance. Par exemple, si une personne est dite "Bélier", en astrologie tropicale, cela signifie que le Soleil se trouvait dans le secteur zodiacal du Bélier au moment de sa naissance (et non dans la constellation, celle-ci s'étant peu à peu décalée avec la précession des équinoxes). En astrologie sidérale, pour être dit "Bélier", il faut que le Soleil se soit trouvé effectivement dans la constellation du Bélier lors de sa naissance. Plus simplement, l'astrologie tropicale utilise le zodiaque tel qu'il était aux alentours de l'an 150 après JC , tandis que l'astrologie sidérale utilise le zodiaque actuel.
En effet, à cette époque, l'équinoxe de printemps avait lieu lors de l'entrée du Soleil dans la constellation du Bélier. Cependant, lorsque les Grecs ont adopté l'astrologie, ils ignoraient le phénomène de la précession des équinoxes (contrairement aux Chaldéens), et sa redécouverte par Hipparque n'a pas été prise en compte par Ptolémée, lequel à donc théorisé au début de l'ère chrétienne un zodiaque dit tropical, encore utilisé aujourd'hui en Occident, qui ne correspond plus aux données astronomiques (le point vernal se trouvant aujourd'hui dans la constellation des Poissons).
Il y a donc une controverse entre les astrologues tropicaux et sidéraux. Étant donné que l'astrologie ne repose sur aucun fondement scientifique, il est impossible de trancher le débat entre le zodiaque faux des tropicaux et le zodiaque vrai des sidéraux, l'efficacité d'un des deux systèmes n'ayant jamais été démontrée.
Presque tous les astrologues, qu'ils soient sidéraux ou tropicaux, sont d'accord pour diviser le zodiaque en 12 signes de taille égale. Cependant, certains sidéraux considèrent qu'il faut définir la taille des signes proportionnellement à l'étendue réelle des constellations dans le ciel.
Du fait de la précession des équinoxes, le premier signe du Zodiaque, le Bélier, débutera le 21 mars pour les tropicaux, le 30 avril pour les sidéraux.
Du fait de la précession des équinoxes, le premier signe du Zodiaque, le Bélier, débutera le 21 mars pour les tropicaux, le 30 avril pour les sidéraux.
Les 21 constellations des planètes
A cause de leur inclinaison par rapport à l'écliptique, les planètes ne sont pas cantonnées dans les 13 signes solaires. Les 7 planètes (on exclue Pluton, à l'orbite trop excentrique au sens astronomique du terme) traversent en tout 21 constellations, les huit supplémentaires étant la Baleine, le Corbeau, la Coupe, l'Hydre, Orion, Pégase, l'Écu de Sobieski et le Sextant
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